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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 20:21

 

Street Fighter X Tekken annoncéCapcom vient d'annoncer l'arrivée d'un nouveau jeu de combat mêlant deux univers différents. Street Fighter X Tekken, comme son nom l'indique, mêlera la licence de Capcom Street Fighter, à celle de Namco, à savoir Tekken. Le jeu utilisera le moteur ayant fait le succès de Street Fighter IV, pour le plus grand plaisir des connaisseurs.

Ainsi, on pourra retrouver notre Ryu national et toute sa clique, pour un affrontement contre des Nina et autre Kazuya.
L'attente sera néanmoins longue, puisque le titre ne verra pas le jour avant l'année 2012. Voici quelques images comme lot de consolation...

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 18:15

On le sait tous, le jeux vidéo et le cinéma fonctionnent désormais en parfaite symbiose. Afin de promouvoir la sortie du titre d'Ubisoft, Ghost Recon : Futur Soldier, et aussi de l'enrichir, l'entreprise à annoncé l'arrivée prochaine d'un film live en guise de préquelle au titre. Portant le doux nom de Ghost Recon : Alpha, ce film pourrait bien plaire au fans du genre. Etant notamment encadré par François Alaux et Hervé de Crecy, les créateurs de Logorama, Ubisoft ne c'est toujours pas prononcé quand au choix de la distribution.

Voici donc les images, très prometteuse, de Ghost Recon : Alpha.

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 12:23

La chaleur règne au milieu de ce champ de cactus. Les vautours planent dans les alentours, attendant que je m’écroule pour me dévorer tel les voraces qu’ils sont. Mon chapeau plein de poussières me pèse de plus en plus. La dernière meutes de coyotes ma beaucoup affaiblie, mais leur dépeçages me permettra de me faire quelques dollars dans la prochaine bourgade que je croiserai. Peut être les utiliserai-je au saloon, à boire quelques whisky et finir ma journée affalée au comptoir, cherchant la bagarre comme à mon habitude. Malgré tout je reste un brave cow-boy, je suis venu en aide à cette femme se faisant agresser par ce rebelles, trop idéaliste pour voir plus loin que le bout de son nez. Mon lasso bondira sur les irrespectueux et les traites, mon six coups résonnera dans les plaines désertiques de l’ouest américain jusqu’aux révolutionnaires du Mexique. Et ils comprendront, oui, ils comprendront que John Marston est prêt à tout pour revoir sa famille.

Il aura fallut attendre longtemps avant de voir un jeu succédant à la licence Red Dead. Six ans, six années depuis la sortie de Red Dead Revolver jusqu’à accueillir Red Dead Redemption. L’attente était longue, mais le plaisir est immense.


Quand le passé vous rattrape


Red Dead Redemption
Le jeu vous place dans la peau de John Marston, un cow-boy repenti, portant sur son visage les douleurs des années passés. Ne rêvant que d’une vie paisible auprès de sa famille en laissant derrière lui une vie de bandit, de hors la loi, malgré tout, il reste un cow-boy très brave venant en aide au personnes en danger, il est un peu le Robin des bois du Far-West. Mais le passé n’est qu’un boulet que l’on se traine, jusqu’au moment ou celui-ci frappe une pierre et vous fonce dans la tronche. C’est-ce qui va arriver à notre pauvre John Marston qui va devoir très vite participer à une véritable chasse à l’homme pour retrouver les anciens membres de la bande dont il faisait parti pour se venger du sort qu‘ils lui on réservés, et avoir une chance de revoir sa femme et son fils.
Sans trop rentrer dans les détails, disons que le scénario de Red Dead Redemption est un petit bijoux qui se savoure sans lassitude, on retrouve sans le moindre mal le travaille apporté à GTA IV.


Red Dead Redemption
Et les similitudes avec les aventures de Niko Bellic ne s’arrêtent pas là. En effet, car le gameplay du jeu reprend les bases, voir plus, de GTA IV. Tout y est, le déplacement du personnage, le fait de tapoter le bouton A pour courir, à la différence que l’on devra aussi exercer cette manipulation avec les chevaux que l’on montera, mais attention à ne pas vider trop vite la jauge de fatigue de l’animal, sans quoi vous passerai par-dessus le canasson…et oui, quel monde cruel le Far-West. On retrouve également le même mode de vissé automatique, que l’on peut sélectionner, pour les plus Hardcores d’entre vous. La différence vient du fait que le jeu reprend aussi la particularité de son grand frère, Red Dead Revolver, à savoir la possibilité d’enclencher un Bullet Time pour faire des ravages sur vos ennemis. Appelé le Sang Froid dans le jeu, ce système est vraiment la clé de tous les Gunfights du jeu. Le petit ingrédient rendant chaque phase d’action digne d’un grand Western. Vous pourrez donc à tout moment, à condition que votre jauge de sang froid ne soit pas vide, enclencher le mode sang froid. Dès lors, un ralenti s’enclenchera et vous n’aurez qu’a sélectionner la partie du corps de vos assaillants que vous voulez cartonner. Après avoir soigneusement sélectionné vos cibles, Marston exécutera vos ordre en une fraction de seconde. Cette technique permet de se sortir de situations délicate, notamment lorsque l’on constate que le monde de RDR est peuplé de gens qui vous demanderont souvent de l’aide, sans le moindre scripte, un homme vous suppliera d’arrêter le bandit qui vient de lui voler son cheval, une femme vous implorera de tuer le bandit qui est en train d’essayer d’abuser d’elle, les personnages peuplant RDR on une véritable raison d’être. Lors d’une situation ou une femme vous appelle sur le bord de la route car elle à eu un accident avec sa chariote, et qu’a votre arrivé vous découvrez six bandits vous ayant tendu une embuscade pour vous dépouiller, vous pourrez utiliser le Sang Froid pour vous débarrasser de vos assaillants avec classe, tel le cow-boy que vous êtes.


Un écosystème en soit


Le monde de Red Dead Redemption, regorge d’activités secondaires, rajoutant énormément au réalisme du jeu. En vous promenant dans l’immense carte du jeu, sillonnant les déserts de cactus, les canyons malfamés, ou encore les montagnes enneigeaient, vous trouverez toutes sortes d’animaux pouvant être chassés, dépecés, et enfin vendu aux marchands regorgeant dans les petites villes aux alentours. Il est impressionnants de remarquer qu’un véritable écosystème à était créé pour nous permettre de chasser avec intelligence, d’aller dans tel région pour attraper tel animal. On retrouvera donc des loups, des coyotes, des lapins, des ratons laveurs, des couguars, des chevaux sauvages, des bisons sillonnant les grandes plaines, ou même des grizzlis, redoutable adversaire, Il serait trop long de cité tout les animaux que l’on rencontrera dans le jeu, de la biche au tatou, de l’aigle au serpent, tout y est, renforçant l’immersion et décuplant le plaisir de jeu. Après une dur journée de chasse, rien de plus apaisant que d’aller au saloon pour boire un verre, attention à l’abus d’alcool, ou vous vous retrouverez face contre terre pendant toute la nuit. Vous pourrez aussi si l’âme d’un joueur sommeil en vous, vous essayer à de nombreux jeux d’argents. Le poker, le poker menteur, le jeu du fer à cheval, le jeu du couteau, tout est fait pour trouver son bonheur parmi cette possibilité aisé de choisir son jeu de prédilection, pour ma part c’est le jeu du couteau, qui demande à la fois dextérité et rapidité. Vous l’aurez compris, le monde RDR regorge de petites activités qui renforce la durée de vie, un peu moins longue que GTA IV.

Red Dead Redemption
Comptez environ 15 heures de jeu si vous foncez sur l’objectif faisant l’impasse sur la richesse du jeu. En prenant votre temps et en découvrant tout ce que propose le jeu, de la chasse au trésor, des défis à remplir, vous en aurez pour environ 25 heures sans vous lasser. Viens ensuite la grosse parti du jeu, le multijoueur, qui à été spécialement travaillé pour que l‘on y passe des jours entiers. Ainsi, vous pourrez jouer en multijoueur, à de nombreux mode de jeu et tenter d’augmenter votre expérience afin de monter de niveau et d’avoir accès à de nouvelle armes, tenus, ou encore chevaux.


Une ambiance indéniable


Red Dead Redemption
Mais RDR est avant tout un jeu magnifique, bénéficiant d’un aspect artistique tout bonnement sublime. Les décors sont véritablement inspirés, les textures sont sublimes, aucun élément n’a été laissé à l’abandon, les visages sont détaillés, surtout celui de John, qui laisse entrevoir d’importantes balafres, une barbe de trois jours et une mine de héros fatiguée par la misère du monde, c’est sur, on est plongé dans une ambiance Western digne du grand Eastwood. Quel plaisir de se promener dans une ville de l’Ouest de l’Amérique, la poussière maquillant votre Pancho et le soleil éblouissant la grande rue, dessinant l’ombre d’un bandit vous proposant de faire un duel, au milieu de ce dédale de bâtiments tous plus inspirés les uns que les autres. Les différents effets de lumières sont eux aussi un chef d’œuvre, le cycle jour et nuit laisse à la fois entrevoir une après midi sublime, à la fois une nuit ou les étoiles éclaires les plaines que vous traversait sur le dos de votre fidèle destrier.



Red Dead Redemption 
18/20

Pour conclure, Red Dead Redemption nous plonge au cœur d’un Western sublime. Les décors sont magnifiques, le travail artistique bluffant d’inspirations, l’écosystème regorge de vie et de réalisme, ne vous attendait pas à croiser un grizzli au beau milieu d’un désert de cactus, et l’histoire révèle la vie d’un héros déchu, fatigué par le poids des années, mais près à tout pour revoir sa famille. Rockstar nous dévoile une nouvelle fois leur talent au travers un GTA-Like différent de l’époque Niko Bellic, mais aussi bon et riche que ce dernier.
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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 14:37

Après un premier épisode fort en ambiances bétons et scènes immorales, Kane & Lynch 2 : Dog Days débarque enfin en démo pour nous faire revivre les aventures fort en actions de nos deux héros déjantés.

Le premier opus n’ayant pas vraiment séduit dû à un gameplay manquant de stabilité et un aspect graphique bougrement moins sexy comparé aux jeux de l’époque, le soft avait tout de même été apprécié par une communauté de joueurs ayant vus en lui un jeu à l’ambiance propre et maitrisé, un jeu dont l’histoire était prenante et pleine de rebondissements, un jeu qui avait l’étoffe d’un leader mais qui pêchait de pars sa certaine redondance.
L’échec ne pouvant être que source de réussite, l’équipe de IO Interactive partait avec l’ambition, l’envie de mettre les petits plats dans les grands et de proposer un second opus beaucoup plus maitrisé, tout en conservant les éléments appréciés dans le premier épisode.


Envie d’un chinois?

La phase solo proposé dans la démo, vous place dans un restaurant chinois, plutôt bien reculé du reste du monde. Dans celui-ci, seulement deux clients. L’un aux cheveux assez cours, avec quelques balafres sur le visage, en face de lui, un homme muni d’un marcel blanc, aux cheveux longs et muni de lunette noir, masquant ses yeux de psychopathes. Vous l’aurez deviné, nous retrouvons nos deux compères passant le temps dans un restaurant chinois. Vous vous en doutez, nos deux lurons se font très vite attaquer par une ribambelle de méchants pas gentils voulant joyeusement trucider le duo infernal.



La première remarque en commençant à jouer, est le personnage que l’on incarne. Fini le consciencieux Kane avec son sans froid à toutes épreuves, place au dangereux, et forcement plus agréable, Lynch. Vous aurez donc droit tout au long des phases de jeu, à de petites subtilités, comme entendre lynch parler tout seul, s’ordonnant à lui-même de rester calme, de ne pas céder à la folie, toujours avec la voix charismatique du personnage. Cela apporte évidemment un point essentiel à l’ambiance du titre. Ambiance qui se voit aussi ponctuer par le fait que l’on a tout le long de la démo (et certainement du jeu) la sensation de suivre l’histoire à partir d’une caméra un peu fatigué, un peu comme un reportage en envoyé spéciale. Cet effet rajoute donc énormément aux sensations de jeux, d’autant plus que celui-ci est réellement bien retranscrit.

Ce choix de proposer des phases de jeu par le biais d’un effet « reportage » ne plaira certainement pas à tout le monde, la caméra virevolte au moindre tir et à chaque déplacement de Lynch, mais permet aussi d’accroitre l’essence même du jeu, à savoir une ambiance sublime, digne de grands polars. Elle permet de mettre en valeur l’aspect graphique du jeu. Bien que les textures des décors ne soient pas vraiment détaillés, on remarque tout de même un level design permettant de se faire plaisir, en choisissant notamment plusieurs chemins différents pour atteindre son  objectif. Les effets de lumière dynamiques sont très bien retranscrits, et la destruction des décors vous obligera à réfléchir à deux fois avant de vous mettre à couvert derrière un mur, susceptible de s’écrouler sous le poids des balles de vos assaillants.



Le gameplay à lui aussi été modifié, chose que nombreux d’entre vous apprécieront. Bien que le premier opus proposait un gameplay limité, on constate que celui de son petit frère permet vraiment de se lâcher (après un temps d’adaptation tant l’effet caméra est original). Une fois la bête dompté, on se découvre une nouvelle facette dans la manière d‘aborder telle ou telle situation, et on enchaine sans trop de mal la couverture, essentiel si l’on à pour objectif de survivre, le tir de barrage ou encore l’assaut en tirant sur tout ce qui bouge tel le psychopathe que l’on incarne. 
Le petit regret reste quand même l’intelligence artificiel de nos ennemis ( et même de Kane) qui ne fait pas toujours les bons choix. Vos ennemis vous fonceront la plupart du temps dans la tronche pour se faire lamentablement cribler de balles, et n’arrive pas vraiment à se mettre à couvert. Mais cela n’empathie en rien sur la difficulté, très relevé, du jeu. L’atout principale de vos ennemis sera donc plutôt leur nombre que leur efficacité, malgré tout rendant les affrontements très prenants et jouissifs.


Au finale, on peut donc dire que cette première approche avec le deuxième épisode de Kane & Lynch est très positif. L’équipe de développement semble avoir réussi à faire l’impasse sur les quelques défauts du jeu, tout en gardant l’ambiance propre à la licence. On attend donc l’arrivée de Kane & Lynch 2 Dog Days avec impatience pour se faire un avis définitif, mais on peut déjà affirmer que le jeu pourrait bien plaire à une grande communauté de joueur, mais reste tout de même dans un registre assez fermé, qui ne plaira peut être pas à tout le monde.
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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 21:03

Environ 18 minutes, c'est la durée de cette vidéo dédié à Alan Wake. Dans celle-ci, on revient une nouvelle fois sur les éléments essentiels du jeu de Remedy, à savoir une ambiance omniprésente, un travail artistique à couper le souffle, et un scénario plein de rebondissements et de mystères.



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8 juin 2010 2 08 /06 /juin /2010 10:17

Afin que vous puissiez voir vraiment ce qu'il en est du jeu de Rocksteady, voici le videotest de Batman Arkham Asylum, dans lequel votre serviteur tente en vain de vous montrer un maximum de choses sur ce titre qui respire la réussite en tout point. Indispensable à tout joueurs qui se respecte, ce jeu risque bien de combler les fans de comics ou même les amateurs du genre.



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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 08:40

Dans la ville de Gotham, un justice rôde lorsque la nuit tombe. Passant de Bruce Wayne à chevalier noir, Batman va cette fois-ci devoir faire le ménage dans l’asile d’Arkham, cet asile à la périphérie de Gotham renfermant les plus dangereux psychopathes de la ville. Le joker à un plan, un projet mis en place depuis un long moment, et seul Batman pourra l’en empêcher.


Enormément adapté en jeu vidéo, Batman à toujours eu la caricature d’être un justicier masquer, très cliché et réservé aux jeunes enfants rêveurs. Mais lorsque l’annonce de Batman Arkham Asylum est tombé, les joueurs eurent soudainement une envie de voir un retour triomphant pour le chevalier noir, avec une aventure beaucoup plus noir, plus mature et un gameplay alternant prise en main rapide et efficace.


C’est donc dans cet état d’esprit que Batman Arkham Asylum vit le jour, les développeurs annonçant une histoire loin du héros combattant les méchants pour libérer la jeune fille prisonnière, et plus dans une optique de faire découvrir la triste facette de Gotham, la noirceur des criminels y habitant et le lourd passé de notre héro Batman. Pour pouvoir mettre à bien leur ambitieux projet, l’équipe de Rocksteady c’est avant tout chargé de mettre en place une trame principale très prenantes. Ainsi, le jeu vous met dans la peau du justicier chauve-souris, qui emmène le joker, attrapé avec facilité, dans l’asile d’Arkham. A peine amené, le joker exécute alors le plan qu’il avait depuis longtemps en tête en s’échappant grâce à l’aide d’Harley Quinn, que l’on rencontrera souvent dans le jeu, et en enfermant Batman dans l’asile avec les criminels les plus dangereux de Gotham. En choisissant de présenter le scénario de cette manière, les développeurs on réussi à inclure des criminels très connu de la saga Batman, comme Killer Croc, Ivy ou encore l’homme mystère, et vous serez donc confronté à de nombreux boss connu des comics ou même des films Batman.
Enormément de passages culte seront donc proposé au fil de l’aventure, rajoutant à chaque fois une grosse dose d’immersion et relançant de plus belle le scénario du jeu, on pense notamment au scènes que vous fera subir l’Epouvantail, mais il serait criminel de vous en dire plus.

Vous voila donc quelques dizaines de minutes de jeu plus tard parachuté dans la vaste île d’Arkham à remplir divers objectif qui dans l’ensemble reste très variés. Le premier constat que l’on peut faire en ce début de jeu si poignant, est de constater la carte s’offrant à nous. Loin d’un Gta-Like, chose normal, l’Île d’Arkham est très vaste, fourmille de recoin secret mais surtout, reste très varié, entre jardin botanique, pénitencier ou même grotte souterraine, le terrain de jeu reste très cohérent et surtout très fidèle à ce que l’on pouvait retrouver dans les comics. Batman sera donc chargé de stopper le Joker, qui libère tous les psychopathe ne rêvant que de tuer la chauve-souris, et devra aussi venir en aide au gardes qui seront complètement dépassé par les événements.



En avançant dans le jeu, on remarquera très vite que beaucoup d’objets sont à récupérer, et que beaucoup de mystère sont à résoudre. Il ne faudra ensuite pas longtemps pour entendre dans notre oreillette, utilisé afin que l’oracle nos informe sur la situation de l’asile, la voix de l’homme mystère qui aura soigneusement détourné le signal afin de pouvoir nous mettre à l’épreuve. En effet, celui-ci nous explique qu’il à caché énormément d’éléments dans l’Asile et qu’on est chargé de les retrouver. Optionnel mais prenant une place importante dans le jeu, c’est mystère peuvent se traduire sous forme de trophées à trouver, d’enregistrement audio de patient, comme le Joker, Killer croc ou même Harley Quinn, mais peuvent aussi se traduire sous forme d’énigme à résoudre, pour cette dernière, l’homme mystère nous citera une simple phrase et se sera ensuite à nous de trouver un endroit de l’île qui pourrait correspondre à cette phrase mystère, il nous restera à scanner l’élément de l’énigme et celle-ci sera résolue. Inutile de vous dire qu’au début du jeu, ces énigme semble impossible à résoudre, mais on trouvera au fil du jeu des cartes nous indiquant les emplacements de ces énigmes, le tout deviendra alors moins compliqué.



En plus de proposer une aventure pleine de rebondissements et être bourré de mystère, Batman Arkham Asylum possède une durée de vie très appréciable. Si vous décidez de foncer sur votre objectif en passant à côté de tout le travaille ayant été fait au delà de la trame principale, la durée de vie s’élèvera à environ 13 à 15 heures de jeu. Mais si vous décidez en revanche de résoudre les défis de l’homme mystère, de trouver les moindre recoins secrets de l’île, alors vous vous apercevrait que cette asile regorge de mystère, de vécu, vous comprendrait le passé noir d’Amadeus Arkham et la durée de vie se chiffrera alors entre 18 et 20 heures de jeu. Lorsque vous finirez l’aventure, vous pourrez ensuite vous jeter sur le mode défis mis à disposition. Comprenant environ une dizaine d’épreuves, ces défis consisteront soit à vous battre contre des ennemis dans le but de faire le meilleur score possible, soit de vous infiltrer en tuant tous vos ennemis sans vous faire repérer, car le gameplay comporte plusieurs manière d’aborder chaque situation.
Les phases de combat consisteront à bastonné les ennemis qui essayeront de joyeusement vous étriper. Vous devrez donc à la fois donner des coups, mais aussi faire attention lorsqu’un ennemi vous attaque, dans le dernier cas vous devrait soit esquiver l’attaque, soit faire un contre en appuyant sur Y au bon moment. Ce système de combat reste à la fois très facile d’accès, mais aussi très efficace permettant de rendre le fait de dérouiller du psychopathe à la pelle extrêmement jouissif.
Vient ensuite les phases d’infiltration, dans lesquels Batman devra sans se faire repérer, assommer tous les ennemis se trouvant dans une pièce. Pour ce faire, le chevalier noir devra utiliser sa « vision détection », utilisable à n’importe quel moment du jeu, afin de voir à travers les murs chaque ennemis, et avoir de nombreuses indications comme leur attitude ou encore savoir s’il sont armé. Vous pourrait également repérer les éléments permettant d’en finir avec vos ennemis, comme un mur peu épais permettant a Batman d’utiliser son gel explosif afin de le détruire sur la tronche d’un ennemi, ou encore de repérer des gargouilles sur lesquels Batman pourra grimper et observer la situation de haut. Ces phases d’infiltration se révèle au finale extrêmement bien fichu, vous permettant d’aborder différemment chaque situation dans le but de devenir un véritable fantôme au yeux de vos ennemis.




Au finale, Batman Arkham Asylum se révèle performant en tout point, une aventure bien ficelé et bourré de rebondissements, un gameplay instinctif permettant au joueurs occasionnel de réaliser de très beau combo et des phases d’infiltrations vraiment travaillé, permettant d’aborder chaque situation de façon différentes, en utilisant beaucoup d’éléments du décors pour parvenir à ses fins. Bien que l’on puisse reproché le fait que le nombre de combos réalisable est assez limité, la beauté, la réalisation et l’ambiance omniprésente nous fait très vite oublier ce petit défaut du jeu, pour nous plonger dans un monde rempli de mystères, d’action et de plaisir.

Gears Of Man.




Angle Xbox 360 Notation Angle Xbox 360
Graphisme du jeu Xbox 360 Graphismes : Batman AA est beau, très beau. Mais le jeu fait encore mieux dans la réalisation global de l’Asile, très fidèle à ce que l’on pouvait imaginer dans les comics. Vous l’aurez compris, le travaille artistique nous en met plein les yeux et c’est au niveau des petits détails, comme l’immense lune façon BD, que le jeu nous prouve qu’il n’a rien à envier à d’autre titre majeur.18/20
Bande son du jeu Xbox 360 Bande son : La bande son est tout simplement sublime. Le doublage Français est extrêmement bien fait et les bruitages sont très réalistes, participant grandement à l’immersion total du titre. 17/20
Gameplay du jeu Xbox 360 Jouabilité : La jouabilité global du jeu est vraiment bien maitrisé, que l’on se trouve dans une scène de combat ou d’infiltration, Batman se dirige très bien et les joueurs occasionnel s’étonneront des actions qu’ils pourront réaliser. On pourrait tout de même reprocher que le nombre de combo soit assez limité, mais on oublie très vite ce léger défaut au vu du système de combat proposé. 19/20
Durée de vie du jeu Xbox 360 Durée de vie : Si vous décidez de fonce sur les objectifs, vous pourrez voir la fin du jeu en 13 ou 15 heures, mais ce serait passer à coter de beaucoup de chose, tant l’asile d’Arkham regorge de mystère à découvrir. Après avoir fini l’aventure principal, le mode défis pourra tenir en haleine les accros du score pendant un petit moment.16/20
Scenario du jeu Xbox 360 Scénario : Le scénario de Batman AA est à la fois prenant et bourré de rebondissements, on ne s’ennui donc pas une seconde dans ce scénario mettant en scène un affrontement acharné entre Batman et le Joker. On appréciera aussi les nombreuses interventions de boss, toute plus culte les uns des autres, comme la scène contre le titanesque Killer Croc. 17/20
Général du jeu Xbox 360 Note Générale : On constate au finale que l’équipe de Rocksteady à fait un travail judicieux avec Batman AA. Le titre respire la maturité, la noirceur et le triste passé d’un Batman face à une ribambelle d’ennemis très fidèle au comics, et en plus de faire plaisir au fans, le jeu convaincra les plus sceptiques d’entre vous. Bourré de scènes cultes, de passage de bravoure et de mystère à découvrir, votre vision de joueur prendra un autre sens après avoir mis les mains sur le bat-pad. Vos bat-sens se développeront tout à coup et vous ne jouerais plus Bruce Wayne… vous l’incarnerez. Vivement la suite. 19/20
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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 07:19
Alan…Wake Up



Lorsqu’on pense à Alan Wake, on ne peux faire l’impasse sur ses cinq années de développement. Cinq ans, parmi lesquels des idées on été proposées, des projets abandonnés, comme l’envie de proposer un GTA-Like, et heureusement que ce projet à été abandonné, car où aurait été l’ambiance, la profondeur de l’histoire ou encore l’angoisse. A la suite de l’excellent Max Payne, voila que l’équipe de Remedy, qui à bien grandie, tente de se lancer dans un jeu mélangeant habilement les références comme Stephen King, dans un décor inspiré de Twin Peaks.

Alan wake
Alan est un écrivain, auteur de plusieurs romans à succès, il vit à New York avec sa femme Alice, dans un luxueux appartement. Malheureusement pour notre héros, Alan souffre de la pire des choses qu’un écrivain puisse redouter, le syndrome de la page blanche. En effet, Alan n’a rien écrit depuis deux ans et Alice décide donc de lui faire prendre un peu de recul, en l’emmenant séjourner quelques temps dans la petite bourgade de Bright Falls, une petite ville en plein cœur des montagnes, le genre de ville ou chaque personnes se connaissent et où le passé regorge de mystères, masqué derrière un calme paisible et propice au repos de l’écrivain. A peine arrivé, notre Stephen King en herbe prend connaissance des projets de sa femme visant à lui faire retrouver sa source d’inspiration dans le but qu’Alan se mette à écrire. Mais alors que nos deux tourtereaux se disputent, Alice disparait tout à coup et Alan se réveille subitement au volant d’une voiture accidentée. Alan doit désormais tout tenter pour retrouver sa femme et trouver une explication aux nombreux mystères qui pullulent dans Bright Falls.

Voila dans les grandes lignes ce que propose le scénario d’Alan Wake, il est très difficile de parler du scénario sans vous dévoiler quelques détails, mais on peut tout de même vous dire qu’Alan trouvera dans le jeu des pages d’un roman nommé Departure, dont il est l’auteur mais qu’il ne se rappelle pas avoir écrit, on comprendra plus tard que ce roman à véritablement quelque chose à voir avec le scénario du jeu. Globalement, ce scénario reste vraiment très prenant, derrière ces apparences clichées au départ, on se rend très vite compte qu’il regorge de subtilités, de rebondissements et autant vous dire qu’il faudra vous accrocher lorsque les révélations tomberont dans l’épisode 4 du jeu.


Bienvenue à Bright Falls



Vous voila donc plongé dans les vastes montagnes de Bright Falls, en alternant entre des phases de jour et d’autres de nuit. Si la première ne servira qu’au déroulement du scénario, la dernière ne sera pas de tout repos. En effet, lors des phases de nuits, des habitants de Bright Falls, possédés par une étrange force ténébreuse, chercheront à joyeusement vous étriper. Muni de haches ou de tronçonneuses, ces possédés se déplace généralement en nombre conséquent et sont en plus très rapide. Alan devra donc se munir de sa lampe de poche afin d’éclairer les possédés et leur enlever toute part d’ombres qu’ils ont en eux, après quoi il devra en finir avec une arme à feu.
Le schéma des combats se caractérise toujours de la même façon, vous devrez obligatoirement éclairer vos ennemis avant d’en finir avec eux. Cet aspect rajoute donc énormément d’angoisse car vous devrez faire attention aux piles que vous possédait pour votre lampe torche ou encore aux munitions pour vos armes, que ce soit du simple revolver six coups ou encore du bon fusil de chasse en passant par les lances-fusées, très agréable à utiliser. Les munitions dans le jeu sont vraiment pauvre, vous devrez donc faire très attention à chaque tir que vous ferez sur vos ennemis sous peine de devoir fuir le combat et vous réfugier derrière une source de lumière, chose qui arrive souvent, rajoutant énormément d’angoisse et donc d’ambiance au titre.

Alan wake
Afin de retranscrire au mieux l’ambiance que mérite Alan Wake, les développeurs de Max Payne ont mit en place une réalisation de haute volée, avec des effets de lumières sublimes et un souci du détail hors norme. Quelque soit l’endroit ou Alan évoluera, sa lampe torche restera son outil de travail, la gestion de la lumière effectuée sur celle-ci ou sur n’importe quelle source de lumière, générateur ou simple lampadaire, est criante de réalisme, nous plongeant encore plus dans l’univers très Stephen King du titre. Les ombres de chaque objets éclairé s’afficheront de manière dynamique et extrêmement réaliste, un bonheur.
Vous l’aurez compris, la source de lumière reste vraiment l’élément essentiel, permettant d’obtenir un gameplay plutôt sympathique. Bien que ce gameplay reste assez classique, l’équipe de Remedy à tout de même fait en sorte de retranscrire la sensation oppressive que l’on ressent tout au long du jeu. Ainsi, vous pourrez donc marcher, courir, viser et tirer. Mais vous pourrez également esquiver les attaques de vos adversaires, sous un effet Bullet Time en hommage à Max Payne. Cette touche ne sera donc pas à négliger, dès lors ou vous manquerez de munitions et que vous devrez fuir le combat, la maigre endurance d’Alan ne vous aidera pas à fuir et il sera donc primordial de guetter chaque ennemi pour tenter d’esquiver leurs terribles attaques, jusqu’au doux moment ou vous apercevrez dans la pénombre un magnifique lampadaire luisant n’attendant que votre présence.
Vous pourrez aussi à défaut de la lampe torche, utiliser des accessoires plutôt fun comme des feux de détresse qui écarteront temporairement vos adversaires sous une fumée rouge éblouissant même le joueur, ou encore des grenades flash qui, bien que rare, se révèle être dévastatrices lorsque vous êtes encerclé.


De l’ombre à la lumière…



L’un des autres point fort d’Alan Wake, reste sans conteste sa bande son. Absolument sublime, les doublages français sont vraiment très bien joué. Sans aucun ratage, les différents protagonistes, du plus ou moins important, possède une voie très correct et nous transportent dans un scénario qui n’en devient que plus passionnant, et les nombreuses interventions d’Alan durant les phases de jeu sous forme d’une histoire raconté nous font très souvent frissonner de plaisir. Les bruitages quand à eux révèles le même constat, que l’on soit en train de visiter une cabane, ou que l’on se promène dans une foret à la nuit tombé, les bruitages nous font la plupart du temps frémir de peur à l’idée du prochain sursaut qui nous envahira.

Alan wake
En plus d’être beau et très prenant, Alan Wake possède une durée de vie plutôt conséquente. Ainsi, vous devrez donc compté environ 13 heures de jeu pour voir le bout. Les plus acharnés pourront ensuite le recommencer dans le mode cauchemardesque, qui ce débloque une fois le jeu fini une première fois. Les fans pourront aussi tenter de trouver toutes les pages du roman d’Alan ainsi que les thermos de café, présente au nombre de 100. A savoir aussi que certaines pages de Departure ne sont trouvable qu’en difficulté cauchemardesque. La durée de vie est donc très agréable, d’autan plus que le jeu propose une grande par d’exploration avec des chemins alternatifs, d’autres regorgeant de mystères, permettant de ne pas s’ennuyer même en se replongeant dans l’aventure.



Alan wake
18/20
Pour conclure, Alan Wake est un jeu qui ne décevra pas les attentes des joueurs. Du haut de ces 5 années de développements, le jeu enchaine les phases d’actions et d’angoisses, dans un monde à mis chemin entre le réalisme et le surnaturel. Digne d’un livre de Stephen King, Alan Wake possède en plus de tous ça une réalisation incroyable, ponctué d’effets de lumière sublime jamais vu dans un jeu auparavant. Certains pourraient reprocher la redondance de son gameplay, mais l’équipe rattrape le tout avec l’utilisation judicieuse de la lumière, qui prend véritablement une place importante dans celui-ci. Tout est cohérent, aucun mur invisible n’est présent et les décors existes réellement, la direction artistique ne peut que nous transporter dans les profondeurs de Bright Falls, dans un voyage au bout de la fiction…et de la folie.
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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 07:25

Encore troublé de me trouver dans les champs de batailles qui n’existaient que dans les histoire que l’on me contait,  d’être le spartan qui bordait mes nuits de sommeil, à imaginer qu’un beau jour je pourrais moi aussi rejoindre la grande lutte de la survie de notre espèce. Alors que j’observe le désastre de cette guerre, avec au fond de moi la conviction que celle-ci est perdue d’avance, une soudaine monté d’adrénaline me traverse et une sensation de gloire, de courage et de vengeance transforme alors mon âme de poète en spartan entrainé, rêvant de faire payer ce que ces covenants nous on fait subir depuis trop longtemps maintenant. Armes à la main, grenade dégoupillé et frères d’armes pour m’épauler, nous voila fin prêt pour le début d’une bataille qui changera le monde.


Disponible pour les joueurs ayant en leur possession Halo O.D.S.T, la béta d’Halo Reach se sera fait attendre, à tel point que ces premières heures en libre services furent laborieuse, avec du lag par-ci par-là et même quelques coupures de plusieurs dizaines de minutes. Mais la voici enfin prête à accueillir les joueurs voulant découvrir le nouveaux , et peut-être dernier, épisode de la grande saga Halo.


Annoncé il y a un long moment maintenant, la beta d’Halo Reach était censé être composé de 5 cartes, qui se sont en faite transformé en seulement deux. Bien qu’il soit dommage de se retrouver à jouer dans des cartes que l’on connaitra donc vite par cœur, plusieurs mode de jeu sont disponible, nous permettant de ne pas rentrer dans la lassitude d’une maigre beta.
Le premier mode jeu sera la capture de drapeau, qui consistera tout simplement à capturer des drapeaux apparaissant aléatoirement dans la carte, dans le but des les ramener dans son camp, à savoir qu’un compte à rebours sera présent, qui comptabilisera le nombres de drapeaux récupéré lorsque celui-ci arrive à zéro, ce qui fait qu’une partie n’est jamais gagné d’avance et le but sera donc d’alterner entre la capture de drapeaux et la défense de son camp.
Le deuxième mode présent consistera à récupérer un nombre défini de crane en tuant des ennemis, la encore, il faudra faire très attention à ne pas se faire tuer avant de ramener ces cranes dans une zone prédéfini, afin de ne pas perdre tous les crânes accumuler, très prenant, ce mode ravira les joueurs rêvant de challenge et la encore, l’issue d’une manche pourra totalement changer en fin de partie.

Des modes plus classique vous accompagnerons ensuite, comme les parties assassin ou vous serez charger de tuer tous les joueurs adverses en vous promenant joyeusement dans l’une des deux cartes mise à disposition.  Vous aurez aussi des manche plus plaisante ou tout les joueurs seront armés de la même armes, (un joli petit fusil d’assaut à cadence de tir réduit mais favorisant le headshot) et devront détruire une équipe adverses afin de marquer des points.


L’une des grosses nouveauté de ce nouvel opus de la saga Halo, est bien sur ces différentes classes. En effet, vous pourrez à chaque respawn, choisir entre plusieurs classe, Eclaireur, Guerrier, Rodeur ou encore Aéroporté.
La classe Eclaireur vous permettra de sprinter lors d’un cours instant, et favorisera les déplacements éclair, coupler à un marteau, cette classe peu s’avérer dévastatrice.
Le Guerrier pourra lui se régénérer lorsque la situation devient délicate. En appuyant sur une touche, votre spartan se mettra accroupi et rechargera son bouclier tout en infligeant une violente décharge électrique au adversaires se trouvant au alentours. Une compétences très intéressante lorsque celle-ci est utilisé avec intelligence.
La classe Rodeur, ma préférer, vous permettra de vous camouflez pendant un certain temps, brouillant votre radar lors de l’utilisation, cette compétences reste extrêmement accessible au novice du genre et permettent de prendre  un ennemis à revers rapidement et efficacement, attention tout même lors de vos déplacements car vous serez alors plus facilement repérable.
Enfin, la classe Aéroporté vous permettra de vous envoler vers l’infini et au delà, afin de tombez sur vos adversaire tel un aigle sur sa proie. Assez délicate a utilisé, cette compétence sera réservé au joueur qui sont a l’aise avec le gameplay d’Halo.



Au delà de ces quelques nouveauté, rien ne change vraiment par rapport au multijoueur que proposait Halo 3, jusqu’à son moteur graphique, qui reprend les prouesses du troisième épisodes, le souci étant qu’au jour d’aujourd’hui, l’ensemble reste assez limite, les textures reste assez baveuses, bien que le tout à été globalement affiné. Le design des armes connus a changer pour prendre une forme plus classe dans l’ensemble et de nouvelles armes font apparition, toute plu fun les unes que les autres et reflétant bien l’esprit de Halo. Au finale cette beta est à conseiller si vous voulez vous faire un avis plus défini sur les nouveauté que proposera Halo Reach. On peut néanmoins reprocher que cette beta reste dans le fond limité, la conduite de véhicule n’est pas présente, et les deux cartes proposer sont certes bien structuré, mais malheureusement assez petites.

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31 mai 2010 1 31 /05 /mai /2010 08:39

Après la sortie en Février 2009 de Street Fighter IV, les joueurs se doutaient bien que le jeu de Capcom connaitrait une nouvelle monture. Street Fighter Alpha, Super Street Fighter II, Street Fighter III 3rd Strike : Fight for the Future, tous on connu cette « transition » et voila donc que Super Street Fighter IV débarque sur nos belles consoles HD.

Street Fighter IV…mais en mieux


Pour résumer rapidement les nouveautés apportées à SSF IV part rapport à son grand frère, quelques lignes sont amplement suffisantes. Un casting étoffé de 10 nouveaux personnages dont 2 inédits. Cinq nouvelles cartes de combat, un nouvelle Ultra pour chaque personnage, un ré-équilibrage timide de certains personnages, aurais-je entendu un certain Sagat? Et enfin, un mode online proposant de nouvelles fonctionnalités.

Super Street Fighter IVLe jeu étant vendu 40 euros en magasin, les joueurs s’ont en droit de se demander s’il se font arnaquer en achetant ce Super Street Fighter, mais la qualité des ajouts dont Capcom nous a fait part justifie les 40 euros du jeu comparé à des hits comme Call of Duty Modern Warfare 2 qui se vend à encore plus de 70€ ! Les fans de Street Fighter ne doivent donc pas hésiter une seule seconde, vous pouvez quitter cette page est filer l'acheter.

Les nouveaux venus


Le casting de Super Street Fighter IV est bien évidemment le point fort du jeu. Capcom n’as pas vu les choses en petit. 10 nouveaux personnages en plus de l’équipe de Street Fighter 4. Bien que la plupart soient des combattants de différents épisodes, on note tout de même l’arrivé de 2 nouveaux combattants inédits.

Super Street Fighter IVLe premier, ou plutôt la première, n’est autre que Juri, une combattante d’origine Coréenne qui séduira l’ensemble des joueurs de par son efficacité à toute épreuve. Provocatrice et sexy, la jeune combattante pourra alterner entre un style mélangeant safe et attack avec une troublante efficacitée. Son atout majeur réside dans ses coups de pied dévastateurs qui sont des attaques difficiles à anticiper et souvent imparables. Rapide et efficace, il ne fait aucun doute que les joueurs se l’approprieront immédiatement grâce à sa prise en main rapide.

Viens ensuite le tour de Hakan, qui fait immédiatement le contraste avec la belle Coréenne. Aux apparences de démon écrevisse, le lutteur aura la particularité de s’enduire le corps d’huile afin d’avoir l’avantages au combat. Très lent mais disposant d’une choppe à faire pâlir Zangief Abel ou encore T.Hawks, le bougre jouera avant tout sur l’efficacité de ses Ultra-dévastateurs et sur la maitrise du joueur qui le contrôlera. Car contrairement à Juri, Hakan n’est pas du tout le genre de combattant qui fera l’unanimité des joueurs, il demandera une certaine maitrise afin d’être réellement efficace en ligne. Bourré de subtilités dans son maniement, Hakan pourra attraper ses adversaires pour les faire glisser tel le lutteur huilé qu’il est, vous pourrez même vous déplacer lors d’un focus attack, et ainsi triompher des adversaires les plus vifs.

Super Street Fighter IVConcernant les autres personnages disponible, on peut noter quelques arrivants de Super Street Fighter 2 comme T.Hawks, qui marche dans le même registre que Zangief, avec une lenteur agaçante mais une force indéniable. On a aussi Dee Jay, qui reste très complet avec des coups plutôt safe mais efficace. Du côté de Street Fighter Zero, on notera l’arrivée Guy et Cody, deux combattants du même registre, qui utilise un gameplay mélangeant une technique assez particulière même si Cody, le taulard notoire, possède des coups assez fun et plutôt efficaces. On a aussi Addon, aux apparences de condensé de Sagat, le petit gars à la mèche rebelle sera très efficace pour mettre la pression à son adversaire avec ses Ultra efficaces et sa rapidité demandant une vraie dextérité.
Enfin, du côté de Street Fighter III 3rd Strike, on retrouvera Dudley, Makoto et Ibuki. Dudley marchera dans le même registre de son rival, Balrog. Plutôt rapide et safe ce personnages reste très accessible et devrait lui aussi s’imposer en ligne. Makoto elle, révèle un constat assez mitigé, et ne plaira pas à tout le monde. Certains diront que c’est clairement le personnages qui na pas sa place dans SSF IV, il faut dire que la jeune karaté kid en herbe ne possède pas vraiment de propriétés définies et se contentera de donner des coups sans grands intérêts et souvent, trop souvent, faciles à contrer. Ibuki, le ninja rapide comme l’éclair possède des attaques imparables en dash et pourra enchainer les coups avec une énervante facilité pour l’adversaire. Vous l’aurez constater dans ces lignes, les combattants dans SSF IV est juste ahurissant de variétés et d’efficacités, les combats n’en seront que meilleur.

Sagat d’un jour, Sagat toujours…




Super Street Fighter IVQuelques rééquilibrages ont été effectués dans SSF4. En effet il était plutôt énervant de noter un énorme différence lorsque l’on combattait contre Sagat, et je vous le dit tout net, je fais partie des joueurs trouvant que le bougre était complètement Cheater. D’autres joueurs disant que Ryu enchainez trop de normaux d’un coup, pour ma part Ryu est mon personnage, je resterais donc muet sur ce dernier. Capcom à donc décidé de baisser les compétences des ces quelques combattants comme Sagat, Ryu ou encore Zangief, mais le souci viens du fait que le rééquilibrage est vraiment trop timide et ont devra donc se contenter de quelques subtilité comme une rapidité moins flagrante de Sagat ou encore un enchainement plus timide de notre Ryu qui reste malgré tout dévastateur (hihi).

Le reste du contenu est vraiment accessoire en comparaison aux personnages ajoutés, mais on notera tout de même que les nouvelles cartes proposés sont magnifiques et très bien animé. Le mode arcade accueillera aussi les stages bonus qui consisteront à détruire une voiture le plus vite possible et à détruire le plus de tonneaux dans le temps fixer. Du classique donc et on s’ennuiera très vite lors de ces stages. Le monde online, la force du jeu, se verra étoffé de quelques nouveautés. Comme la possibilité de créer des tournois de 8 joueurs, ou chaque combattant s’affronte à tour de rôle, les autres joueurs devenant à ce moment là spectateur du combat.

Super Street Fighter IV
17/20
Super Street Fighter IV propose en clair un casting de personnages impressionnants de part leur efficacité. Un casting permettant à n’importe quel joueurs de trouver son bonheur pour triompher de son triste adversaire. L’ajout de nouvelaux Ultras pour chaque personnage apporte aussi un aspect très stratégique que l’on ne devra pas négliger en fonction de l’adversaire que l’on rencontrera. Avec ces quelques cartes en plus et son aspect graphique toujours aussi agréable, oscillant entre carton et réalité, on ne peut qu’être séduit par ce titre vendu seulement 40€ et permettant de passer des nuits blanches sur son mode online très fourni et globalement bien fichu.
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