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Après une longue periode d'absence, Capcom s'est enfin décidé à annoncerl'arrivée prochaine de son jeu d'horreur phare depuis de nombreuses années. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les petits gars de chez Capcom n'ont pas fait les choses à moitié, car en plus d'être annoncé, une date de sortie et d'ore et déjà fixé au 20 novembre 2012. Mieux encore, une premier trailer est également disponible, trois minutes durants lesquels on envoi du lourd, en alternant avec phases de gameplay et cinématiques en tout genre.
Certains seront peu être déçu de voir que la vidéo et plutôt concentré sur l'action, et non l'horreur tant attendu par les fans, mais rien n'est encore à écarté, d'autant plus que quelques scènes présentes dans la vidéo promettent quelques passages angoissants.
Quoi qu'il en soit, je vous laisse juste en dessous le fameux trailer, qui ne manquera pas d'interpeller les plus accros d'entres vous.
Enjoy!
Attendu par une vaste communauté de joueurs, Max Payne se dévoile un peu plus au travers de cette vidéo nous présentant la visée ainsi que l'arsenal mis à disposition de notre héros.
Pour rappel, sachez que le jeu à malheureusement était retardé, et au lieu de sortir en mars prochain, verra le jour plutôt au mois de mai 2012.
Patience donc...
A l'occasion en mars prochain, de la sortie en france du nouveau livre de Stephen King, à savoir Nuit noire, étoiles mortes (Full dark, no stars), voici un petit point sur ce que vous pourrez trouver dans ce dernier.
Une petite précision sur la couverture, qui au départ devait être la suivante:
Mais qui a évolué, pour donner ceci:
En ce qui me concerne, j'ai était très déçu de l'apprendre, bien que la deuxième couverture soit assez bien fichu, et surement bien plus dans le thème du livre, je trouvais que la première couverture reflétait réellement l'aspect ciel/terre, et en d'autres termes, le rapport bien/mal, enfer/paradis. Mais bon, ce qui est fait est fait après tout.
Présentation de l'éditeur:
Sommaire:
-1922
-Grand chauffeur
-Extension claire
-Bon ménage
"Quatre nouvelles puissantes et, chacune dans son genre, profondément dérangeantes." Neil Gaiman
Dans la lignée de Différentes Saisons, Un king démoniaque où les mariages se disloquent sous le poids de secrets plus noirs que les ténébres, ou l'avidité et la culpabilité distillent goutte à goutte leur venin, où la seule certitude reste que le pire est encore à venir.
1922: Un fermier du Nebraska assassine sa femme avec la complicité de leur fils, pour l'empecher de vendre sa proprièté à un éleveur de porcs. Le début d'une véritable descente aux enfers dans un univers de violence et de paranoïa.
Grand chauffeur: Une femme, auteur de polars, se fait violer sauvagement au bord d'une route. Rendue à moitié folle par l'agression, elle décide se venger elle-même de l'homme et de son effrayante complice.
Extension claire: Un homme atteint d'un cancer fait un pacte faustien avec un inconnu: En échange d'un peu de vie, il vend un ami d'enfance dont il a toujours été jaloux, pour souffrir à sa place.
Bon ménage: Une femme découvre par hasard qu'elle vie depuis plus de vingt ans avec un tueur en série. Que va-t-il se passer maintenant qu'il sait qu'elle sait?
Qu’il est loin le temps ou l’on pouvez-faire peur. Le temps ou d’un coup de plume aguerri, ont pouvez empêcher les gens de dormir, en leurs contant des histoires qui parles de démons, d’esprits, de monstres, ou encore, d’une petite fille renfermé, aux prises d’interprétations religieuses fanatiques de sa mère, possédant un pouvoir, un pouvoir lui permettant de déplacer des objets par la pensé.
Vous l’aurez compris, nous allons aujourd’hui parler du livre Carrie, écrit par le maître de l’horreur, Mister Stephen King.
Pour la petite histoire, sachez que le livre est sortit en 1974 (1976 chez nous) au Etats-Unis, et qu’il s’agit du premier livre publié du célèbre écrivain. Ce dernier était jusqu’alors professeur de lettre et vivait dans une caravane avec sa femme Tabitha King. Il commença par écrire ce qui allait être son premier livre publié, lorsqu’il décida de jeter le manuscrit à la poubelle, jugeant qu’il ne pourrait jamais rien en tirer. Sa femme tomba ensuite sur le manuscrit resté dans la corbeille, et après l’avoir lut, insista auprès de son mari pour qu’il tente de le publier. Le livre fut alors un véritable carton, la maison d’édition Doubleday ayant publié et vendu les droits du livre pour une édition de poche, donna une avance à Stephen King de 200.000 dollars, et sa carrière fut alors lancé.
Le film sortit en 1976 et fut réalisé par Brian De Palma, pour l’époque, le succès fut total.
Résumé :
Carrie White, dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, vit un calvaire : elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu’elle le maîtrise encore avec diffi culté... Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l’aimer, l’invite au bal de printemps de l’école. Une marque d’attention qu’elle n’aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d’un renouveau ! Loin d’être la souillonne que tous fustigent, elle resplendit et se sent renaître à la vie. Mais c’est compter sans la mesquinerie des autres élèves. Cette invitation, trop belle pour être vraie, ne cache-t-elle pas un piège plus cruel encore que les autres ?
Avec Carrie, le maître de l’horreur nous plonge dans les méandres de l’adolescence et des changements qui s’opères. Le livre nous conte l’histoire d’une adolescente renfermée, t’iranisée par ses camarades d’écoles et par une mère aux pratiques religieuses abusives. Même trente ans après, l’histoire garde toute son originalité, sa fraicheur, jusqu’à prendre un énorme tournant lors du bal de fin d’année. On se retrouve happé par les mots employés par King, et commençons à ressentir la détresse de Carrie White, jusqu’à la plaindre complètement. King à également choisit de scénariser son histoire, en proposant des extraits de bouquins retrouvés, parlant de la jeune fille, des articles de presses, le tout dans un seul but, vous préparer pour l’apothéose, la scène finale qui vous glace le sang.
Au final, on constate que les livres de King son des bijoux impérissables. Même trente ans après, les mots non pas vieillis, de même pour l’histoire, la psychologie et l’attitude des personnages, rien n’est ringard, tout ce suit mais ne se ressemble pas, et nul doute que ce livre pourra rendre encore insomniaque beaucoup de lecteur avides de sueurs froides.
Il fût un temps, ou les dragons régnaient en maître sur la totalité de Tamriel. Féroces et délestés de pitiés, ils se ruèrent sur les hommes tels des faucons sur leurs proies, et dans la pénombre des nuits hivernales de la région, leurs souffles pouvaient faire disparaitre des montagnes entières, des villages tout entiers.
Une prophétie parle d’un enfant doté de capacités ores du commun des mortels. Capable de parler aux dragons, de crier comme eux, de ressentir leurs puissances, leurs faiblesses. Un enfant dragon, qui serait capable à lui seul, de venir à bout du plus féroce des dragons de ce monde. Ce garçons, c’est toi!
Arrivé dans nos salon le 11 Novembre dernier (10 Novembre pour éviter la débilitée d’une sortie en plein jour férié) The Elder Scrolls Skyrim semble proposer une approche sensiblement différente que son prédécesseur, Oblivion. Dans ce sens, voyez plutôt Skyrim comme une évolution d’Oblivion, proposant une chose que les joueurs rêvaient de vivre, à savoir des combats contre des dragons en temps réel. Mais avant ça, revenons un instant sur le scénario.
Au tout début du jeu, vous incarnez un prisonnier assis à l’arrière d’une voiture ( en disant voiture, j’entend par là un chariot tiré par un cheval ). L’occasion s’offre très vite à vous de personnaliser votre personnage, en choisissant sa race son sexe et bien d’autres éléments vous permettant de créer à chaque parties, un personnage unique. Quelques minutes plus tard, lorsque vous êtes sur le point de vous faire trancher la tête, un dragon apparait et attaque le village. Inutile de vous préciser que dès le départ, vous devrez tacher d’éviter l’affrontement, et devrez courir à grande foulée vous réfugier dans le donjon le plus proche. Vous apprenez donc très vite que le dragon que vous venez de voir est le premier à être vu depuis des siècles, la stupéfactions des villageois en témoignant. En compagnie d’un autre prisonnier connaissant la région beaucoup mieux que vous, vous quittez le village pour vous plonger dans le monde vaste et dangereux de Skyrim.
Le contraste devient très vite choquant avec le début du jeu, qui reste très scripté, et le moment ou votre ami prisonnier vous propose de vous séparer. Arrivé à ce passage, au beau milieu d’une immense plaine vous permettant d’apprécier la distance d’affichage, une seule question vous traversera l’esprit. Et maintenant?
Et cette question, croyez bien que vous vous la poserez souvent, lorsque vous serez chargé de quêtes annexes, de notes mystérieuses vous demandant de vous rendre à telle ou telle ville. Encore plus libre que son flamboyant prédécesseur, Skyrim vous laisse très vite prendre les commandes du jeu. A tout moment, la possibilité s’offre à vous de laisser de côté la quête principale, pour passer des heures, que dis-je, des jours entier cloitré dans votre terrier, à aider la population de Tamriel. J’en profiterais même pour rajouter qu’il est conseillé de faire des pauses, car… Quoi? Vous en avez rien à foutre?…OK.
Les quêtes annexes, en plus d’être mieux structuré et plus riche, sont aussi mieux amené. Les tavernes, par exemple, sont d’excellents endroits pour dénicher des quêtes annexes, dirigez-vous vers le plus éméché, la plus jolie, le plus coriace, et vous trouverez votre bonheur à coup sûr!
Bien que les quêtes annexes soient extrêmement bien travaillé, pour la plupart, cela ne veux pas dire que l’aventure principale ait était mise à la trappe, loin de là. Scénaristiquement parlant, l’aventure promet de grands moments ou votre héros sera sous la lumière, unique et unique remède à une invasion de dragon féroces. Mais pour venir à bout d’un dragon aussi féroce soit-il, il faut avant tout augmenter votre niveau et améliorer vos compétences. Pour ce faire, l’équipe de Bethesda a était très malin, car contrairement à Oblivion, ou vous deviez vous battre selon la classe que vous aviez choisi, archer par exemple, pour augmenter de niveau, Skyrim lui, vous propose de faire progresser votre barre de niveau à chaque fois que vous faite quelques chose en rapport avec la large liste de compétences qui vous sont proposés. Crocheter une serrure, et votre niveau de crochetage augmentera, de même que la barre principale, indiquant la progression jusqu’à votre prochaine montée en puissance. Les parades, armes à une mains, lourde, destruction, alchimie, il est juste impossible de tous les citer tant le jeu regorge de richesses et de profondeurs. Lorsque vous passerez un niveau, en plus d’entendre la musique épique donnant envie de zigouiller un bon dragon dodu, vous pourrez observer en regardant le ciel, toutes les compétences à améliorer, chacune regroupé en constellation. Un niveau augmenté vous donne un point d’amélioration, correspondant à une étoile à faire briller dans la compétence choisi, à condition d’avoir fait remplir la barre de progression de la compétence. Pour reprendre l’exemple du crochetage, si vous n’avez pas assez crocheté de serrures, vous ne pourrez pas faire augmenter cette compétences. Le jeu vous oblige donc à faire des choix, d’une part car il est impossible de récolter assez de points d’améliorations pour chaque constellation de compétences, et de l’autre car il est impossible d’utiliser toutes ses compétences à bon escient dans une situation diverse, c’est vous dire si le jeu fait preuve d’une richesse à couper le souffle, le tout sur une seule disquette.
Vous voila donc paré à dézinguer du dragon, mais n’oubliez pas qu’il existe d’autres créatures capables de vous déchiqueter à un croisement de routes. Loups, ours, araignée géantes, bandit de grand chemins, et bien d’autres plus meurtrières si vous les embêtez, comme les mammouths, les géants, les orcs, les trolls, les squelettes, les vampires, les loup-garou, bref, que du lourd croyez-moi, du lourd et encore du lourd. D’autant plus que les combats sont encore plus dynamiques que dans Oblivion. Vous pourrez choisir de tenir une arme à chaque mains, ou une arme et un bouclier, vous faites tout simplement ce que vous voulez, et en cherchant bien, vous trouverez quelques combines comme s’équiper d’un sort de flammes à chaque mains pour plus de puissances. Ou alors jouez-là stratégique, comme vous équiper d’un arc lorsque la cible est loin, puis un bâton de familier pour faire apparaitre un loup fantôme vous épaulant alors que votre assaillant se rapproche, et lorsqu’il est occupé avec votre familier, soit vous le rué de coup d’épée tranchant, ou alors vous restez à distance avec des sort de glaces ou de flammes.
Pour conclure, on peu dire sans hésitation que Skyrim remplit sa part du marché, en proposant une aventure riche, d’innombrables quêtes soignées, épiques, rigolotes, et nous transporte dans les terres de Tamriel tel un chevalier unique, dont le destin ne dépend que de votre façon de jouer. Un espion furtif au service de la guilde des voleurs ou des assassins, un mage puissant membre, ou chef même, de la guilde des mages, un alchimiste dont la richesse des grimoires qu’il dévore rend ses sorts aussi craint qu’un escadron de dragon cacheur de feu, en passant par un puissant guerrier dirigeant la respecté guilde des compagnons, à vous de choisir. La bande son épique du jeu nous aide à franchir le pas de la simple expérience vidéo-ludique, pour rentrer dans un monde pleins de vie, ou chaque habitants à une raison d’exister, un but et un caractère vous promettant quelques surprises de tailles. Mais citer les nouveautés et autres possibilités du jeu me prendrais toutes la nuit, je vous conseille donc de lancer la disquette dans votre machine préféré, et de vivre l’expérience autrement qu’en lisant ses lignes tristement pauvre en comparaison du jeu de l’équipe de Bethesda. Et lorsque vous arpenterais les forêts enneigés de Tamriel sur votre cheval en quête d’un village pour boire un hydromel et dormir un peu, posez-vous la question, vous ais-je menti?
Grosse folie ou furieux trop plein de pognon, en vous d'en juger.
C'est le sourire aux lèvres qu'un chinois s'est offert un item unique, à savoir une épée probablement dévastatrice, à l'occasion du lancement du free to play Age Of Wulin. Un item unique, c'est le cas de le dire, étant donné que le fanatique joueurs s'est offert l'objet lors d'une vente aux enchères organisé par le développeur du jeu, Snail Game, pour la maudique somme de 16.000 dollars, soit près de 12.400 euros.
Esperons au moins que notre ami joueurs a pris soin de poser ses congés pour les 3 prochains mois qui suivent, juste le temps de dézinguer quelques bestioles aux dents asserées et au caractère bien trempé.
The Last Of Us, un futur ovni ?
Annoncé depuis peu par la prestigieuse équipe de Naughty Dog, The Last Of Us s’annonce déjà comme un titre en puissance pour beaucoup de joueurs avides de maturité.
Déjà connu pour avoir mis au monde la fameuse licence Uncharted, dans laquelle notre héros, Nathan Drake, jouait les aventuriers chercheurs de trésors à la Lara Croft ou Indiana Jones, l’équipe de Naughty Dog annonce donc un changement assumé. Un virage très serré même, puisqu’il s’agira à l’équipe de passer d’un jeu d’aventure, à un jeu au faux air d’apocalypse, très inspiré du film Je suis une légende d’ailleurs.
Oubliez les aventures épiques ponctuées de gunfights intenses mais dénués d’angoisse. Aux phases de plate-forme ou d’infiltration, aux énigmes quelques fois vieillottes pour progresser dans un niveau, place à survie, la vraie !
On ne sait pas encore grand-chose sur ce prochain jeu, qui devrait d’ailleurs sortir en fin 2012, voir début 2013, mais une vidéo a très vite faite son apparition. Cette dernière, faite avec le moteur du jeu, devrait finir de vous convaincre sur les capacités et la volonté de l’équipe à proposer quelque chose de nouveau, pour le plaisir des fans du genre.
Je conclus donc en vous laissant la vidéo juste en dessous, cette dernière durant moins de trois minutes, prenez la peine d’observer, vous trouverez peut-être en lui l’Eldorado tant attendu…Enjoy !
Mon livre est enfin dispo!!!
Pour tous ceux que ça intéressent voila le résumé présent sur la quatrième de couverture, pour les commandes, rdv directement sur thebookedition.com ou alors envoyez-moi directement un message si vous préférez passer par moi.
Bryan Orss était un journaliste populaire, dans le temps, ses quelques articles lui avait permis d’être reconnu à New-York comme un bon journaliste, loin de l’élite, mais sans une once de jalousie à avoir. Six mois plus tard, Bryan se retrouve sans emploi, impossible de trouver une enseigne susceptible de l’engager, même en tant que pigiste, car Bryan en est désormais à accepter n’importe quel travail pour s’en sortir, pour permettre à sa compagne Claire, écrivain populaire, de ne plus à avoir à subvenir aux besoins du couple. C’est dans cet état d’esprit que Bryan va accepter un travail l’obligeant à retourner dans l’endroit qui l’a fait, l’endroit qui a mis au monde les démons qui le ronge depuis tant d’années. Pire qu’un retour aux sources, une descente aux enfers l’attend, un voyage au cœur de la folie qui risque de laisser des séquelles, car plus qu’une petite bourgade, Body’s Lake est avant tout une passerelle entre la réalité et le fictionnel.
