Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 10:42

 

Qu’il est loin le temps ou l’on pouvez-faire peur. Le temps ou d’un coup de plume aguerri, ont pouvez empêcher les gens de dormir, en leurs contant des histoires qui parles de démons, d’esprits, de monstres, ou encore, d’une petite fille renfermé, aux prises d’interprétations religieuses fanatiques de sa mère, possédant un pouvoir, un pouvoir lui permettant de déplacer des objets par la pensé. 

 

Vous l’aurez compris, nous allons aujourd’hui parler du livre Carrie, écrit par le maître de l’horreur, Mister Stephen King.

Pour la petite histoire, sachez que le livre est sortit en 1974 (1976 chez nous) au Etats-Unis, et qu’il s’agit du premier livre publié du célèbre écrivain. Ce dernier était jusqu’alors professeur de lettre et vivait dans une caravane avec sa femme Tabitha King. Il commença par écrire ce qui allait être son premier livre publié, lorsqu’il décida de jeter le manuscrit à la poubelle, jugeant qu’il ne pourrait jamais rien en tirer. Sa femme tomba ensuite sur le manuscrit resté dans la corbeille, et après l’avoir lut, insista auprès de son mari pour qu’il tente de le publier. Le livre fut alors un véritable carton, la maison d’édition Doubleday ayant publié et vendu les droits du livre pour une édition de poche, donna une avance à Stephen King de 200.000 dollars, et sa carrière fut alors lancé.

Le film sortit en 1976 et fut réalisé par Brian De Palma, pour l’époque, le succès fut total.

 

Résumé :http://www.livredepoche.com/photos-couvertures/LGFLIVREDEPOCHE/2009/9782253096764-G.jpg

 

Carrie White, dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, vit un calvaire : elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu’elle le maîtrise encore avec diffi culté... Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l’aimer, l’invite au bal de printemps de l’école. Une marque d’attention qu’elle n’aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d’un renouveau ! Loin d’être la souillonne que tous fustigent, elle resplendit et se sent renaître à la vie. Mais c’est compter sans la mesquinerie des autres élèves. Cette invitation, trop belle pour être vraie, ne cache-t-elle pas un piège plus cruel encore que les autres ?

 

 

Avec Carrie, le maître de l’horreur nous plonge dans les méandres de l’adolescence et des changements qui s’opères. Le livre nous conte l’histoire d’une adolescente renfermée, t’iranisée par ses camarades d’écoles et par une mère aux pratiques religieuses abusives. Même trente ans après, l’histoire garde toute son originalité, sa fraicheur, jusqu’à prendre un énorme tournant lors du bal de fin d’année. On se retrouve happé par les mots employés par King, et commençons à ressentir la détresse de Carrie White, jusqu’à la plaindre complètement. King à également choisit de scénariser son histoire, en proposant des extraits de bouquins retrouvés, parlant de la jeune fille, des articles de presses, le tout dans un seul but, vous préparer pour l’apothéose, la scène finale qui vous glace le sang.

Au final, on constate que les livres de King son des bijoux impérissables. Même trente ans après, les mots non pas vieillis, de même pour l’histoire, la psychologie et l’attitude des personnages, rien n’est ringard, tout ce suit mais ne se ressemble pas, et nul doute que ce livre pourra rendre encore insomniaque beaucoup de lecteur avides de sueurs froides.

Partager cet article
Repost0

commentaires